Les Cénobites précédé de Le bidet et autres histoires
Mirios Hakkas croyait à un monde plus juste : il fut broyé, comme tant d'autres, entre le pouvoir de droite et les caciques de son parti. Puis ce fut la lutte finale : un vain combat contre le cancer. Mort à 40 ans, Hakkas n'a laissé que trois livres, dont voici les deux derniers. Les nouvelles du Bidet (1970) et des Cénobites (1972). Traduit du grec par Noëlle Bertin, Yseult Dimakopoulos, Dominique Dourojeanni et Michel Volkovitch. 161 p.(1997)
Né en 1931, Marios Hakkas passe sa vie dans la banlieue populaire d'Athènes, hormis les années de prison (1954-1958 puis un mois en 1967), en raison de son engagement politique. Atteint d'un cancer en 1969, il consacre tout son temps à l'écriture et meurt en juillet 1972.