Coups de langue
La langue en question, c'est l'idiome écrit par nos écrivains, mais aussi l'organe qui goûte les textes comme si c'était des mets délicieux, des chairs adorables. 192 p. (2007)
La langue en question, c'est l'idiome écrit par nos écrivains, mais aussi l'organe qui goûte les textes comme si c'était des mets délicieux, des chairs adorables. 192 p. (2007)
Le métro parisien, ses foules, ses fous, ses flics, ses SDF, ses couples d'amoureux, ses moments de grâce, de beauté - tout le monde, qu'un homme de cinquante ans, traversant Paris de Mairie-de-Montreuil à pont-de-Sèvres, décrit pour la jeune femme qu'il aime et qui ne se déplace qu'en avion. Des couples dont on entend les ébats. Les caissières d'un supermarché. Les femmes nues des revues porno. Une série de rêves aériens. 148 p. (1998)
Michel Volkovitch, né en 1947, est professeur d'anglais et traducteur de grec (prose, poésie, théâtre) en particulier de Georges Cheimonas, Marios Hakkas et Ersi Sotiropoulos. Ses traductions de poésie lui ont valu le prix Nelly-Sachs en 1996. Il a publié Le bout du monde à Neuilly-Plaisance en 1994, Verbier, herbier verbal à l'usage des écrivants et des lisants en 2000 et Coups de langue en 2007 chez Maurice Nadeau.
Herbier verbal à l'usage des écrivains et des lisants. Un herbier verbal dont les plantes seraient les mots : non pas un traité, un manuel, une somme exhaustive, mais une série de notes qui sont à l'écrivain ce que le carnet de croquis est au peintre. Un voyage dans la langue française d'hier et surtout d'aujourd'hui. 201 p. (2000)
Voyage dans la banlieue de Paris. Le voyage sentimental de Michel Volkovitch à travers la banlieue des jardins, des coins tranquilles, des impasses, des bords de l'eau... agrémentés par les photos de Michel Lamoureux. Errance poétique qui attache ses pas aux fragiles fééries de la banlieue. 122 p. (1994)