Dernière migration
Cela paraissait impossible, inconcevable, et pourtant c’est arrivé : les affamés du monde entier, ceux d’Afrique les premiers, parce que les plus proches de notre continent ont traversé les mers, ont envahi nos villes, se sont répandus dans nos campagnes. Noires armées de moribonds venus nous demander des comptes. La puissance visionnaire de Janine Matillon, dont on n’a pas oublié l’Orimita bosniaque d’il y a deux ans, s’exerce à nouveau à plein dans cette fiction en forme d’ultime appel au secours. 232 p.18 euros. (1998)